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La relève du dinosaure, La revanche des mammifères, diffusion du samedi 18 août 2018 à 20h00
Il y a quelque 65 millions d'années, une météorite s'écrase sur Terre, mettant fin au règne des dinosaures. Ces grands ovipares disparaissent mais le monde animal voit se développer des mammifères, des reptiles et des oiseaux. Ces trois groupes évoluent, s'adaptent à leur nouveau monde et surtout, à leurs prédateurs. Certains se spécialisent dans la chasse, d'autres sont exclusivement herbivores. Leurs corps se transforment également pour survivre dans un environnement hostile. Au milieu de tous ces animaux sauvages, un mammifère émerge : l'homme. Il grandit lentement mais évolue plus vite que les autres.
La relève du dinosaure, La fin d’un monde, diffusion du samedi 18 août 2018 à 19h05
Il y a 65 millions d'années, une météorite aurait percuté la Terre, mettant fin au règne des dinosaures ovipares. Avant l'onde de choc, les mammifères, des animaux placentaires, se faisaient tout petits. La collision aurait ouvert la voie à une lutte entre les reptiles, les oiseaux et les mammifères. Et ceux-ci seraient sortis vainqueurs de cette guerre des espèces. Moins spécialisés que leurs concurrents, ils étaient en effet capables de s'adapter à tous les environnements. Ils se mirent à grossir, à se diversifier, à prendre de plus en plus de place sur la planète. Bientôt, l'être humain allait pouvoir apparaître. Critique : Un petit être velu, pas plus grand qu'une souris, s'approche et renifle l'écran. Il s'agit d'Adelobasileus, considéré comme l'ancêtre commun de tous les mammifères modernes. Ce proto-mammifère de moins de 10 centimètres de long allaite ses petits, qui naissent encore dans des oeufs. Il y a plus de 200 millions d'années, Adelobasileus côtoyait des dinosaures aux proportions exubérantes. Ce premier épisode (1) retrace les évolutions qui lui ont permis de survivre à la météorite responsable de l'extinction des reptiles géants, voilà plus de soixante-cinq millions d'années. En Chine, sur le site de Liaoning, des chercheurs replongent dans la période du crétacé, il y a quelque cent vingt-cinq millions d'années, où a été élucidé le mystère de la résistance du mammifère au cataclysme. Parmi des centaines d'animaux fossilisés, ils ont trouvé Eomaia, descendant d'Adelobasileus et premier animal doté d'un placenta... Dans ce récit passionnant, la qualité des images de synthèse laisse à désirer. C'est dommage lorsqu'il s'agit de reconstituer la charge d'un Carnotaurus, carnivore terrifiant, ou la dévastation de la planète par une météorite. Certaines scènes un peu kitsch, intégrant dinosaures et proto-mammifères sautillant aux côtés des experts interviewés, amuseront peut-être les plus jeunes. Mais au-delà de l'aspect visuel, parfois décevant, la clarté du propos séduit. — Marie-Hélène Soenen (1) Seconde partie à 21h45 : La revanche des mammifères.
La relève du dinosaure, La revanche des mammifères, diffusion du mercredi 08 août 2018 à 00h55
La relève du dinosaure, La fin d’un monde, diffusion du mercredi 08 août 2018 à 00h05
La relève du dinosaure, La revanche des mammifères, diffusion du vendredi 16 juin 2017 à 23h15
Il y a quelque 65 millions d'années, une météorite s'écrase sur Terre, mettant fin au règne des dinosaures. Ces grands ovipares disparaissent mais le monde animal voit se développer des mammifères, des reptiles et des oiseaux. Ces trois groupes évoluent, s'adaptent à leur nouveau monde et surtout, à leurs prédateurs. Certains se spécialisent dans la chasse, d'autres sont exclusivement herbivores. Leurs corps se transforment également pour survivre dans un environnement hostile. Au milieu de tous ces animaux sauvages, un mammifère émerge : l'homme. Il grandit lentement mais évolue plus vite que les autres. -- Critique : Un petit être velu, pas plus grand qu'une souris, s'approche et renifle l'écran. Il s'agit d'Adelobasileus, considéré comme l'ancêtre commun de tous les mammifères modernes. Ce proto-mammifère de moins de 10 centimètres de long allaite ses petits, qui naissent encore dans des oeufs. Il y a plus de 200 millions d'années, Adelobasileus côtoyait des dinosaures aux proportions exubérantes. Ce premier épisode (1) retrace les évolutions qui lui ont permis de survivre à la météorite responsable de l'extinction des reptiles géants, voilà plus de soixante-cinq millions d'années. En Chine, sur le site de Liaoning, des chercheurs replongent dans la période du crétacé, il y a quelque cent vingt-cinq millions d'années, où a été élucidé le mystère de la résistance du mammifère au cataclysme. Parmi des centaines d'animaux fossilisés, ils ont trouvé Eomaia, descendant d'Adelobasileus et premier animal doté d'un placenta... Dans ce récit passionnant, la qualité des images de synthèse laisse à désirer. C'est dommage lorsqu'il s'agit de reconstituer la charge d'un Carnotaurus, carnivore terrifiant, ou la dévastation de la planète par une météorite. Certaines scènes un peu kitsch, intégrant dinosaures et proto-mammifères sautillant aux côtés des experts interviewés, amuseront peut-être les plus jeunes. Mais au-delà de l'aspect visuel, parfois décevant, la clarté du propos séduit. — Marie-Hélène Soenen (1) Seconde partie à 21h45 : La revanche des mammifères.
La relève du dinosaure, La fin d’un monde, diffusion du vendredi 16 juin 2017 à 22h20
Il y a 65 millions d'années, une météorite aurait percuté la Terre, mettant fin au règne des dinosaures ovipares. Avant l'onde de choc, les mammifères, des animaux placentaires, se faisaient tout petits. La collision aurait ouvert la voie à une lutte entre les reptiles, les oiseaux et les mammifères. Et ceux-ci seraient sortis vainqueurs de cette guerre des espèces. Moins spécialisés que leurs concurrents, ils étaient en effet capables de s'adapter à tous les environnements. Ils se mirent à grossir, à se diversifier, à prendre de plus en plus de place sur la planète. Bientôt, l'être humain allait pouvoir apparaître. -- Critique : Rencontre avec Adelobasileus, le premier mammifère connu, une minuscule bestiole vieille de 200 millions d'années qui a survécu aux dinosaures. Les reconstitutions 3D sont un peu kitsch, mais cette histoire de la faune primitive reste captivante.