Diffusions passées:

Le rôle de la moto au cinéma

Le cinquième élément, diffusion du dimanche 06 janvier 2019 à 21h00

XXIII<+>e<+> siècle, une ville déglinguée. L'histoire simpliste (le Bien contre le Mal) est compensée par la mise en scène. Un beau joujou qui nous amuse et nous ravit. Critique : | Genre : BD comme en vrai. Chaque film de Luc Besson trace une ligne de fuite. Sous terre (Subway) ou sous l'eau (Le Grand Bleu), ce grand enfant veut être ailleurs, et loin. Ici, il prend également ses distances avec la réalité : trois siècles, excusez du peu. Voici le colossal joujou dont Besson rêvait depuis tout petit, avec une débauche de maquettes et d'effets spéciaux, certains hallucinants. Au vertige de foire du Trône s'ajoute l'impression d'un jeu vidéo où l'on zapperait d'Indiana Jones à La Guerre des étoiles. Surprise : on se retrouve à rire avec le gosse gâ­té, qui a bien su mener son affaire. Besson a recruté des maîtres en science-fiction dessinée, comme Mézières et Moebius, pour lui imaginer tortues géantes et taxis volants. Et Jean Paul Gaultier a habillé tout ce petit monde. La BD vivante tient la route et amuse, parce que Besson s'est lui-même amusé à prendre toutes les libertés avec la panoplie des tics et des gadgets du genre. — François Gorin

Le rôle de la moto au cinéma

Le cinquième élément, diffusion du mardi 18 avril 2017 à 22h50

Egypte, 1914. Des extraterrestres récupèrent quatre pierres magiques, symboles des quatre éléments, jadis confiées à des prêtres. Avant de partir, les extraterrestres promettent que dans 300 ans, ils rapporteront les précieux cailloux. Au XXIIIe siècle, alors qu'ils font route vers la Terre, ils sont anéantis par la planète du Mal. Les habitants de ce monde maléfique, les Mangalores, s'emparent des pierres et foncent vers la Terre. Le président Lindberg et ses conseillers se rendent rapidement à l'évidence : il n'existe aucun moyen de les arrêter. Une mutante, Leeloo, détient la clef du cinquième élément. Elle atterrit dans le taxi de Korben Dallas, qui la cache chez lui... -- Critique : Luc Besson nous transporte dans son XXIIIe siècle, au coeur d'une ville déglinguée, avec décors grandioses. L'histoire simpliste, en gros le Bien contre le Mal, est largement compensée par la mise en scène. Un beau joujou qui nous amuse et nous ravit.