Diffusions passées:
Tous à l’ouest, une aventure de Lucky Luke, diffusion du lundi 29 octobre 2018 à 13h30
Dans cette adaptation assez fidèle de La Caravane, le légendaire Lucky Luke escorte une caravane d’immigrants et de prisonniers (les Dalton !). Critique : | Genre : animation familiale. Lucky Luke sans clope est-il encore Lucky Luke ? Au fil des ans, le look du cow-boy solitaire est devenu plus propret, sans que cela n’entame l’aura du personnage. Pour preuve cette quatrième adaptation en dessin animé. L’aventure s’inspire de La Caravane, narrant le long périple d’immigrants et de prisonniers (les Dalton) escortés par Lucky Luke. Le réalisateur a la bonne idée de situer le début dans le New York de 1855. Les perspectives sont soignées, on voit la ville, ses artères, le pont de Brooklyn. Côté voix, Lambert Wilson apporte une touche d’élégance au flegme légendaire du garçon vacher, et Clovis Cornillac, ce qu’il faut de bouillonnement pour Joe Dalton. Mais la palme revient à Michael Lonsdale, parfait en huissier de justice méticuleux et détaché. Quant aux péripéties, elles s’enchaînent presque tranquillement, loin des rythmes endiablés en vogue. Tout semble fait pour rassurer à la fois les enfants et les parents. Du cinéma traditionnel, presque vieille France, paradoxalement.
Tous à l’ouest, une aventure de Lucky Luke, diffusion du mardi 23 octobre 2018 à 20h55
Tous à l’ouest, une aventure de Lucky Luke, diffusion du vendredi 23 mars 2018 à 18h55
Dans cette adaptation assez fidèle de La Caravane, le légendaire Lucky Luke escorte une caravane d’immigrants et de prisonniers (les Dalton !). Critique : Lucky Luke qui ne fume plus est-il encore Lucky Luke ? Au fil des ans, le look un peu craspec du cow-boy solitaire est devenu plus propret, dans les albums et sur les écrans, mais sans que cela entame l'aura du personnage de Morris et Goscinny. Pour preuve cette quatrième adaptation en dessin animé, dont la promotion vante la spécificité 100 % française. L'aventure s'inspire assez fidèlement de La Caravane, narrant le long et périlleux périple à travers les Etats-Unis d'une caravane d'immigrants et de prisonniers (les Dalton !) escortée par Lucky Luke. Le réalisateur a la bonne idée de situer le début dans le New York de 1855. Les perspectives sont soignées, on voit précisément la ville, ses artères, le pont de Brooklyn. Côté voix, le choix n'est pas mal non plus. Lambert Wilson apporte une touche d'élégance au flegme légendaire du garçon vacher et Clovis Cornillac ce qu'il faut de bouillonnement pour le petit nerveux Joe Dalton. Mais la palme revient peut-être à Michael Lonsdale, parfait en huissier de justice méticuleux et détaché. Quant aux péripéties, elles s'enchaînent presque tranquillement, loin des montages frénétiques actuellement en vogue. Tout ici semble fait pour rassurer, à la fois les enfants et les parents. Du cinéma traditionnel en somme, presque vieille France, paradoxalement.